(...)
And the effort got new fuel from a report by the American Association of University Women (AAUW) Educational Foundation, which says women are paid less starting with their first jobs out of college, and that the deficit only grows with time. Pay discrimination, says AAUW, is still "a serious problem for women in the work force."
(...)
Buried in the report is a startling admission: "After accounting for all factors known to affect wages, about one-quarter of the gap remains unexplained and may be attributed to discrimination" (my emphasis). Another way to put it is that three-quarters of the gap clearly has innocent causes -- and that we actually don't know whether discrimination accounts for the rest.
I asked Harvard economist Claudia Goldin if there is sufficient evidence to conclude that women experience systematic pay discrimination. "No," she replied. There are certainly instances of discrimination, she says, but most of the gap is the result of different choices. Other hard-to-measure factors, Goldin thinks, largely account for the remaining gap -- "probably not all, but most of it."
The divergent career paths of men and women may reflect a basic unfairness in what's expected of them. It could be that a lot of mothers, if they had their way, would rather pursue careers but have to stay home with the kids because their husbands insist. Or it may be that for one reason or another, many mothers prefer to take on the lion's share of child-rearing. In any case, the pay disparity caused by these choices can't be blamed on piggish employers.
June O'Neill, an economist at Baruch College and former director of the Congressional Budget Office, has uncovered something that debunks the discrimination thesis. Take out the effects of marriage and child-rearing, and the difference between the genders suddenly vanishes. "For men and women who never marry and never have children, there is no earnings gap," she said in an interview.
lundi 13 août 2007
L'inéquité salariale : un mythe marxiste de plus
The Truth About the Pay Gap, Feminist politics and bad economics
jeudi 9 août 2007
Une seconde chance offerte aux polonais ?
La Pologne se dirigerait vers des élections législatives anticipées. Si elle lui était donnée, cette seconde chance pourrait être la bonne pour le parti libéral de Donald Tusk. Il y a deux ans, ce dernier avait fait parler de lui dans les milieux libéraux francophones. Voici par exemple ce qu'en disait Jean-Paul Oury :
Malheureusement il n’y a pas eu 51% de libéraux polonais pour voter Donald Tusk en Pologne et c’est une défaite qui concerne tous les libéraux européens. En effet, la chance de voir un libéral « pur jus » accéder au deuxième tour d’une élection et d’être crédité jusqu’à 64 % d’intentions de vote favorables entre les deux tours dans un pays européen, est comparable à celle de pouvoir assister à une éclipse solaire.D'après Wikipédia, son idéologie combine un appui fort à une économie de marché sans interférence de l'État, avec un conservatisme social. On se serait bien passé de la deuxième partie mais avouons que cela reste très encourageant.
Rendez-vous à l'automne, donc...
mercredi 8 août 2007
La liberté économique profite avant tout aux "pauvres"
Tiré de l'Index of Economic Freedom publié par le Wall Street Journal et la Fondation Heritage. Les barres représentent les cinq tranches de 20% des pays classés en fonction de leur degré de liberté économique (en vert les pays les plus libres).
Outre que les pays les plus libéraux connaissent un taux de croissance du PIB et un revenu par habitant supérieurs, l'on apprend par ces graphiques que la part de revenu des 10% les plus pauvres est indépendante du taux de liberté économique. Si ce fait est de peu d'intérêt pour les libéraux, qui sont plus intéressés à combattre la pauvreté que les "inégalités", il peut être utile à rappeler à nos égalitaristes obsessifs.
L'information la plus importante livrée par ces graphiques est clairement celle-ci : lorsqu'on passe de la seconde tranche des pays les plus libres à la première, le revenu par habitant progresse de 100% alors que le revenu des 10% les plus pauvres fait un bond de plus de 300%.
Outre que les pays les plus libéraux connaissent un taux de croissance du PIB et un revenu par habitant supérieurs, l'on apprend par ces graphiques que la part de revenu des 10% les plus pauvres est indépendante du taux de liberté économique. Si ce fait est de peu d'intérêt pour les libéraux, qui sont plus intéressés à combattre la pauvreté que les "inégalités", il peut être utile à rappeler à nos égalitaristes obsessifs.
L'information la plus importante livrée par ces graphiques est clairement celle-ci : lorsqu'on passe de la seconde tranche des pays les plus libres à la première, le revenu par habitant progresse de 100% alors que le revenu des 10% les plus pauvres fait un bond de plus de 300%.
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